Australie, Zone interdite de Woomera
La zone interdite de Woomera (en anglais Woomera Prohibited Area(WPA)) est une zone désertique sacrée pour les Aborigènes qui est devenue une base militaire d'essais d'armes et de missiles situé au centre de l'Australie-Méridionale, avec son coin sud-est situé à environ 450 kilomètres au nord nord-ouest d'Adélaïde. La zone interdite a une superficie de 127 000 kilomètres carrés et est le plus grand terrain militaire au monde. Il est à peu près de la taille de l'Angleterre.
À partir de 1992, le gouvernement y installe cinq centres d'accueil qui peuvent accueillir 2 000 étrangers en situation irrégulière, camps où les conditions de vie sont difficiles: les camps de Woomera. Deux cents personnes sont affectées à la surveillance des camps.
La ville de Woomera a été créée pour loger les personnes qui travaillent dans la zone interdite.
La Stuart Highway traverse la zone interdite et les voyageurs ne peuvent pas quitter la route et entrer dans la zone interdite.
Le sol de ce site à une très forte teneur en sel, à savoir 14 fois supérieures à celle de l'eau de mer !
Vocation militaire et spatiale - le plus grand terrain militaire du monde
L'Australie profitait de la présence des Américains à Woomera chargés de mettre en œuvre dix missiles Redstone (programme de réentrée Sparta). Après négociations, elle réussissait à obtenir le dernier du lot et elle parvenait en novembre 1967 à injecter son premier satellite (Wresat 1) à l'aide de cette Redstone adaptée.
Est-ce que les Américains ont fait partir partir de Woomera, les missions Apollo secrètes telles Apollo 20 en 1976, mission sois disant annulée ?.
Les Européens travaillant sous d'autres cieux n'empêchèrent pas les Britanniques de continuer leurs études de lanceurs sous la forme de leur programme national Black Arrow. La maigreur du projet (quatre tirs de 1969 à 71) ne pouvait bercer d'illusions les autorités locales. Néanmoins l'ultime lancement (mise en orbite du satellite Prospero), permettait d'offrir à Woomera une sortie un peu plus glorieuse.
En 1976, le Royaume-Uni devait à son tour abandonner définitivement la base australienne après une présence s'étalant sur une trentaine d'années. Par la suite, en dépit de quelques tirs sporadiques de fusées de moindre importance et du maintien de la présence d'une station sol de suivi de satellites (fermée en 1999), "Woomera Village" devait s'enfoncer dans une sorte de léthargie, bien loin de sa splendeur d'antan.
L'absence de programme spatial national et l'arrêt des activités spatiales étrangères sur le territoire marginalisent au début des années 1970 l'activité spatiale en Australie. La base de Woomera n'est plus utilisée pour lancer des satellites depuis 1971 - bien que la recherche sur les fusées et les technologies spatiale et de l'aviation se poursuivent sur place.
Les lancements les plus récents ont été faits par une société australienne appelée AUSROC, pour montrer les possibilités de lancements de fusées dans l'espace à partir de l'Australie et par la NASA pour des universités américaines qui, en utilisant des fusées Black Brant IX, ont voulu étudier l'espace stellaire. Ces fusées ont lancé des télescopes hors de l'atmosphère terrestre.
En 1996, l'agence spatiale japonaise NASDA a étudié la viabilité des systèmes de débarquement automatisés de leur véhicule spatial réutilisable expérimental ALFLEX. En juin 2010, le sonde spatiale japonaise Hayabusa reviendra sur Terre à Woomera.
En 1976, le Royaume-Uni devait à son tour abandonner définitivement la base australienne après une présence s'étalant sur une trentaine d'années. Par la suite, en dépit de quelques tirs sporadiques de fusées de moindre importance et du maintien de la présence d'une station sol de suivi de satellites (fermée en 1999), "Woomera Village" devait s'enfoncer dans une sorte de léthargie, bien loin de sa splendeur d'antan.
L'absence de programme spatial national et l'arrêt des activités spatiales étrangères sur le territoire marginalisent au début des années 1970 l'activité spatiale en Australie. La base de Woomera n'est plus utilisée pour lancer des satellites depuis 1971 - bien que la recherche sur les fusées et les technologies spatiale et de l'aviation se poursuivent sur place.
Les lancements les plus récents ont été faits par une société australienne appelée AUSROC, pour montrer les possibilités de lancements de fusées dans l'espace à partir de l'Australie et par la NASA pour des universités américaines qui, en utilisant des fusées Black Brant IX, ont voulu étudier l'espace stellaire. Ces fusées ont lancé des télescopes hors de l'atmosphère terrestre.
En 1996, l'agence spatiale japonaise NASDA a étudié la viabilité des systèmes de débarquement automatisés de leur véhicule spatial réutilisable expérimental ALFLEX. En juin 2010, le sonde spatiale japonaise Hayabusa reviendra sur Terre à Woomera.
Le mystère de l'astronaute de Cumberland
Il existe un cas ufologique particulièrement célèbre qui s'est déroulé dans le comté de Cumberland et qui aura permis de peut être mettre au jour la première photo d'un être venu d'ailleurs.
Nous allons donc tenter d'en apprendre davantage sur cette affaire et sur ce qu'elle implique en la reliant avec d'autres phénomènes similaires et ce avec l'aide de divers spécialistes, dont l'ancien ministre de la défense Britannique, Nick Pope .
Tout d'abord, restituons les faits.
C'est le 23 mai 1964, que Jim Templeton décida d'emmener sa fille faire une promenade dans un parc situé dans le golf de Solway, à Cumbria, en Angleterre. Pour immortaliser ce moment privilégié passé avec son enfant, Jim voulut prendre quelques clichés de sa fille qui se tenait alors devant une vaste étendue.
Une semaine après cette sortie, quelle ne fut pas sa surprise, lorsqu'il fit développer les photos, de constater sur l'une d'elles la présence d'un homme vêtu d'une étrange combinaison.
Chose encore plus surprenante, les analyses ne révélèrent aucun trucage et l'entreprise Kodak proposa même une prime pour quiconque arriverait à trouver une explication quant à l'apparition de cet étrange individu en arrière plan. A ce jour, personne n'a encore réussi à empocher la récompense...
Quelques jours après cet événement, une étrange visite allait par ailleurs donner une nouvelle tournure à l'affaire. En effet, Jim Templeton vit à sa porte deux hommes habillés de noir lui poser de nombreuses questions à propos de ce qui s'était passé. Ces individus lui demandèrent même de le conduire sur le lieu précis où les clichés furent pris.
Sur place, l'un des deux hommes lui posa une question pour le moins étrange. En effet, celui-ci lui demanda où avait été vu le second « spationaute ». Or, Jim n'avait jamais fait mention d'un second être et leur rétorqua qu'il ne voyait pas de quoi il voulait parler. Suite à cette réponse, les deux hommes devinrent plus agressifs et finirent par s'en aller après avoir vivement conseillé à Jim de ne rien divulguer à propos de cette affaire.
Au vu de ces étranges visiteurs et suite à leurs curieuses questions, on peut se demander si ces derniers n'en savaient donc pas davantage sur ce qu'il s'était réellement passé que Jim lui-même.
Par ailleurs, que penser de l'identité de ces « men in black » qui furent vus par de nombreux témoins ayant été un jour en contact avec des entités extraterrestres ?
Alors que certains sont persuadés qu'il s'agit de membres de l'armée ou des services secrets, bien que les agences gouvernementales ont toujours démenti leur existence, d'autres pensent quant à eux qu'il pourrait s'agir d'être non-humains.
Par ailleurs, une potentielle piste concernant l'identité du fameux spationaute et de la mention faite par les deux hommes quant à la présence d'un second pourrait être trouvée dans un autre cas s'étant déroulé à Woomera en Australie. En effet, le 24 mai 1964, alors que l'Angleterre s'apprêtait à effectuer le lancement de l'un de ses missiles nucléaires « Blue Streak », celui-ci fut brutalement interrompu par l'apparition de deux individus inconnus sur la piste de lancement.
C'est le 23 mai 1964, que Jim Templeton décida d'emmener sa fille faire une promenade dans un parc situé dans le golf de Solway, à Cumbria, en Angleterre. Pour immortaliser ce moment privilégié passé avec son enfant, Jim voulut prendre quelques clichés de sa fille qui se tenait alors devant une vaste étendue.
Une semaine après cette sortie, quelle ne fut pas sa surprise, lorsqu'il fit développer les photos, de constater sur l'une d'elles la présence d'un homme vêtu d'une étrange combinaison.
Chose encore plus surprenante, les analyses ne révélèrent aucun trucage et l'entreprise Kodak proposa même une prime pour quiconque arriverait à trouver une explication quant à l'apparition de cet étrange individu en arrière plan. A ce jour, personne n'a encore réussi à empocher la récompense...
Quelques jours après cet événement, une étrange visite allait par ailleurs donner une nouvelle tournure à l'affaire. En effet, Jim Templeton vit à sa porte deux hommes habillés de noir lui poser de nombreuses questions à propos de ce qui s'était passé. Ces individus lui demandèrent même de le conduire sur le lieu précis où les clichés furent pris.
Sur place, l'un des deux hommes lui posa une question pour le moins étrange. En effet, celui-ci lui demanda où avait été vu le second « spationaute ». Or, Jim n'avait jamais fait mention d'un second être et leur rétorqua qu'il ne voyait pas de quoi il voulait parler. Suite à cette réponse, les deux hommes devinrent plus agressifs et finirent par s'en aller après avoir vivement conseillé à Jim de ne rien divulguer à propos de cette affaire.
Au vu de ces étranges visiteurs et suite à leurs curieuses questions, on peut se demander si ces derniers n'en savaient donc pas davantage sur ce qu'il s'était réellement passé que Jim lui-même.
Par ailleurs, que penser de l'identité de ces « men in black » qui furent vus par de nombreux témoins ayant été un jour en contact avec des entités extraterrestres ?
Alors que certains sont persuadés qu'il s'agit de membres de l'armée ou des services secrets, bien que les agences gouvernementales ont toujours démenti leur existence, d'autres pensent quant à eux qu'il pourrait s'agir d'être non-humains.
Par ailleurs, une potentielle piste concernant l'identité du fameux spationaute et de la mention faite par les deux hommes quant à la présence d'un second pourrait être trouvée dans un autre cas s'étant déroulé à Woomera en Australie. En effet, le 24 mai 1964, alors que l'Angleterre s'apprêtait à effectuer le lancement de l'un de ses missiles nucléaires « Blue Streak », celui-ci fut brutalement interrompu par l'apparition de deux individus inconnus sur la piste de lancement.
La vidéo qui fut tournée ce jour-là aurait montré deux êtres en combinaisons blanches qui ressembleraient étrangement à l'homme de l'espace de Cumberland. Ce fait aurait d'ailleurs même été confirmé par Tumpleton lui-même.
Bien que le lancement fut reconduit, il se conclut de nouveau par un échec. Alors, simple coïncidence ? Peut-être pas, lorsque nous avons connaissance que ce missile a été assemblé dans la base de Spadeadam, au Royaume-Uni, et située à moins de 50 km du Golf de Solway.
Bien que le lancement fut reconduit, il se conclut de nouveau par un échec. Alors, simple coïncidence ? Peut-être pas, lorsque nous avons connaissance que ce missile a été assemblé dans la base de Spadeadam, au Royaume-Uni, et située à moins de 50 km du Golf de Solway.
Enfin, il semble exister une étrange corrélation entre l'apparition de l'arme atomique et les manifestations d'ovnis. Effectivement, ces derniers se sont faits de plus en plus fréquents à partir des années 40 qui marquèrent l'apparition de cette nouvelle technologie.
Ceci est d'autant plus troublant lorsque nous prenons connaissance d'un fait s'étant déroulé seulement trois semaines après le cas décrit précédemment. En effet, Robert Jacobs qui était chargé de filmer le tir d'un missile à tête nucléaire Atlas au large des côtes californiennes eut la surprise de le voir exploser en plein vol. Pour comprendre ce qu'il s'était réellement passé, il se précipita à la base militaire pour faire développer le film.
Rapidement, il fut convoqué par son supérieur qui était accompagné de deux hommes habillés en noir qui lui montrèrent les images qu'il venait de filmer. Selon les dires de Jacobs, il était possible de voir sur le film un ovni tourner autour du missile et lancer deux rayons lumineux sur ce dernier avant qu'il n'explose.
Finalement, les deux individus disparurent définitivement avec la bande après avoir conseillé à Jacobs de ne rien divulguer à propos de cette histoire.
Alors, pour conclure, ces deux accidents impliquant tous deux des armes balistiques visant à transporter des têtes nucléaires sont-ils liés ? En est-il de même pour ces mystérieux hommes habillés de noir ?
Ceci est d'autant plus troublant lorsque nous prenons connaissance d'un fait s'étant déroulé seulement trois semaines après le cas décrit précédemment. En effet, Robert Jacobs qui était chargé de filmer le tir d'un missile à tête nucléaire Atlas au large des côtes californiennes eut la surprise de le voir exploser en plein vol. Pour comprendre ce qu'il s'était réellement passé, il se précipita à la base militaire pour faire développer le film.
Rapidement, il fut convoqué par son supérieur qui était accompagné de deux hommes habillés en noir qui lui montrèrent les images qu'il venait de filmer. Selon les dires de Jacobs, il était possible de voir sur le film un ovni tourner autour du missile et lancer deux rayons lumineux sur ce dernier avant qu'il n'explose.
Finalement, les deux individus disparurent définitivement avec la bande après avoir conseillé à Jacobs de ne rien divulguer à propos de cette histoire.
Alors, pour conclure, ces deux accidents impliquant tous deux des armes balistiques visant à transporter des têtes nucléaires sont-ils liés ? En est-il de même pour ces mystérieux hommes habillés de noir ?
Si cela était le cas, cela pourrait montrer qu'une espèce venue d'ailleurs voudrait neutraliser l'utilisation de nos armes atomiques. A moins qu'il s'agisse, comme le postulent certaines théories, de visiteurs du futur qui auraient voulu empêcher un cataclysme nucléaire.
Autant de questions qui restent encore aujourd'hui en suspens...
PINE GAP la base secrète de Woomera
Juste au dessus de cette immense zone interdite de Woomera, existe une autre base ultra top secrète détenue encore une fois par les américains, cette base c'est celle de Pine Gap !
Juste quelques mots sur cette base encore plus mystèrieuse :
Pine Gap, est située à environ 230 km du centre géographique du continent, un peu à l'Ouest d'Alice Springs, dans les collines du versant sud de la chaîne de montagnes de Mac Donnel.
Cette une base entièrement souterraine, avec des entrées à peine visible à la surface, ces dimensions sont d’ailleurs à peine croyable...
Sous Pine Gap se trouve le plus grand trou jamais creusé en Australie plus de 8 km ( soit 25 fois la Tour Effel, 1,6 fois le Mont Blanc) !!
Un tel trou est généralement utilisé comme une antenne souterraine permettant de recharger les batteries de sous-marins dans les océans Pacifique et Indien par le biais d'émissions ELF.
Une telle antenne gigantesque peut être utilisée pour générer une énorme onde stationnaire autour de la Terre. Certains pensent que Pine Gap est un énorme générateur nucléaire fournissant de l'énergie à un nouveau type d'émetteur.
Cette base Top Secret est entièrement financée par le Gouvernement des Etats-Unis, et est officiellement désignée comme le JDSRF. Le but initial de ce complexe fut d'effectuer des recherches scientifiques pour le développement supposé d'une technologie de défense spatiale.
On sait aujourd'hui que son objectif principal a été depuis le début la recherche sur la propulsion électromagnétique.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire