27/06/2015

Les mystérieux implants extraterrestres, Juin 2015



Les cas d’enlèvements et d’implants extraterrestres sont des sujets fascinants depuis des années. Si ils sont avérés, ils constitueraient les preuves les plus flagrantes prouvant l’existence de créatures d’un autre monde.

Après des années de recherche sur le phénomène OVNI par différents individus de par le monde, il y a une énorme quantité d’informations «officielles» qui ont été mises à la disposition des personnes du monde entier.

La National Archives du Royaume-Uni, par exemple, a publié en 2013 un large éventail d’informations comprenant des témoignages d’observations, des photos et même des dessins pour prouver le contact humain avec des êtres extraterrestres.

Que les extraterrestres existent ou pas est une problématique qui n’a « jamais » été officiellement résolue, cependant la question demeure intacte au fil des années, bien que durant la dernière décennie, d’innombrables preuves ont directement démontré non seulement l’existence de créatures extraterrestres, mais d’êtres inter-dimensionnels.



Depuis des temps immémoriaux, il y a eu des tonnes d’indices qui ont démontré l’existence d’une interaction entre les extraterrestres et les humains.

De nos jours, des facteurs tels que les inscriptions étranges sur le corps et les implants extraits de personnes qui prétendent avoir été enlevés, ont alimenté l’idée que ces êtres surnaturels existent réellement et ont interagi avec les humains.

Le Dr. Roger Leir (décédé en 2014), était un spécialiste de la podologie (la podologie ou la médecine podiatrique est une branche de la médecine consacrée à l’étude de diagnostic, de traitement médical et chirurgical des troubles du pied, de la cheville, et de l’extrémité inférieure) et qui était devenu célèbre en retirant chirurgicalement des implants extraterrestres. Il avait pratiqué 17 chirurgies dans lesquelles des objets suspects, ou «implants», ont été extraits.

D’après le Dr. Leir, une caractéristique étonnante est que tous ces implants allégués font la taille d’une mine de crayon, mais ils sont de nature extrêmement magnétiques et certains possédaient un champ trop puissant comparé à leurs tailles.

D’autres objets examinés comprenaient aussi des fragments de météorite; des métaux comme du gallium, du germanium, du platine, du ruthénium, du rhodium et de l’iridium. Les recherches indiquent aussi avoir découvert du nickel en grandes quantités, que les analyses de labos n’ont pas été capables d’expliquer de façon rationnelle, et dont les isotopes ne ressemblaient en rien à ce que nous trouvons sur notre planète.



D’après Alex Mosier, Ph.D, spécialiste de la physique chimie, qui a examiné les implants avec le Dr. Leir, les fibres découvertes sont de nature très similaires à celle des nanotubes de carbone, ce qui suggère que les fragments ont été conçus ou fabriqués et qu’il est donc impossible que la nature soit à l’origine de cette prouesse.

Les nanotubes doivent être traités, ce qui nécessite une ingénierie complexe et ils ne sont pas faciles à fabriquer. Ces objets ont également été scientifiquement étudiés par certains des laboratoires les plus prestigieux du monde, tels que le Los Alamos National Lab, New Mexico Tech et l’Université de Californie à San Diego.

Le Dr. Leir, qui a aussi travaillé en tant que consultant pour le Mutual UFO Network, a dit que les gens chez lesquels ces objets avaient été extraits ne présentaient pas de cicatrices externes visibles et que leur peau était parfaitement lisse.

Il n’y avait aucun signes d’inflammation aux rayons X, et que les objets s’étaient parfaitement harmonisés avec l’environnement biologique dans lequel ils étaient, ce qui est quasiment impossible.


Jusqu’ici, la médecine était phobique à l’idée d’effectuer des tests liés à des cas d’ufologie. Très peu de scientifiques et de docteurs ont osé franchir la limite et débattre sur ces sujets, particulièrement pour préserver leur prestige et réputation.

Donc quels sont ces objets finalement? Si ces objets proviennent d’autres mondes, alors il doit bien y avoir d’autres preuves… non?


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